Cuisine

             
          Grands amateurs de cuisines, nous ne manquons aucune occasion de nous balader dans les marchés locaux ou d’ouvrir les portes des restaurants pour y goûter toutes sortes de préparations exotiques pour le plus grand plaisir de nos palais. 
En dehors de pays occidentaux, il est très facile d’assouvir notre faim en grignotant des en-cas ou des petits plats au bord des routes à un prix défiant toute concurrence.

Quand cela n'est pas possible, pour des raisons d’accessibilité, de timing ou de prix, nous cuisinons nos plats nous-mêmes.

 
Comment ? 

Nous utilisons nos réchauds et notre batterie de casseroles (une de taille moyenne, deux petites et une poêle antiadhésive), spécialement conçue pour la randonnée, de par leurs tailles, leurs poids mais surtout leurs épaisseurs. Leur finesse permet de faire bouillir de l’eau en un temps record.

Quoi ? 

Nous cuisinons de petits plats principalement à base de féculents (riz, pâtes, semoule, lentilles, nouilles, etc.) qui se cuisent rapidement dans l’eau bouillante, pour nous remplir l’estomac et nous fournir de l’énergie. Nous trouverons des fruits et légumes pour accompagner notre repas. 
Notre consommation en viande et en laitage sera très diminuée car ces aliments se conservent mal à température ambiante. Nous évitons de manger des conserves ou des plats lyophilisés qui sont sans apports calorifiques mais surtout sans goût.
Si ce n'est pas suffisant, nous trouvons toujours dans nos bagages, un sac rempli de fruits secs et à coques.

Avec quoi ?

Nous ne pouvons pas nous passer d'huile, de quelque épices et de nos ustensiles de cuisines (cuillère en bois, couteaux, planche en plastique, etc.). Nos assiettes sont deux tupperwares qui font office tantôt d'assiette tantôt de rangement pour nos repas préparés: c’est archi utile et polyvalent.

Et pour boire?

Il nous a semblé nécessaire d’emporter un filtre à eau avec nous.
Cela nous évite de chercher de l'eau potable ou d’utiliser les tablettes micro-pures qui rendent l’eau infâme. On filtre l’eau directement depuis les robinets ou les cours d’eau.
C’est économique: si l’on devait acheter 1 bouteille d’eau d’1,5L tous les jours, il ne faudrait qu’un an pour rentabiliser le filtre.
Pour choisir le modèle, nous nous sommes fiés au comparatif du site Outdoor Gear Lab.
Nous avons préféré le Platypus qui est considère comme bien meilleur et plus pratique que la fameuse pompe à eau Katadyn utilisée par la plupart des cyclos.
Il est  efficace, rapide, léger, au prix abordable et simple d’utilisation: il suffit de remplir la poche supérieur d’eau et de la pendre pour que l'eau soit filtrée. La gravité s'occupe de tout !

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